Préparation au concours Infirmier 2023


Cher.e .s collègues,

 

Le SNICS.FSU , syndicat majoritaire des infirmier .e.s de l’Éducation Nationale,organise depuis 2019, une préparation au concours d'entrée à l’Éducation Nationale, pour les collègues intéressé.es,

Cette formation se déroulera en deux étapes :

 

  • Préparation à l'épreuve écrite en présentiel

     

    Lundi 03 Avril 2023 de 9h à 17h

    à l'UFR des Sciences et Techniques de Saint Étienne du Rouvray

    Déjeuner sur place au self (compter 6 à 7 euros)

     

  • Préparation à l'épreuve orale en Visioconférence

    Mercredi 10 Mai 2023 de 9h à 12h

     

Ce temps de travail est intense et riche en informations, mais c'est aussi un agréable moment de convivialité !

 

Si vous souhaitez participer à cette formation, merci de contacter :

 

Anne-Gaëlle SALMON

snicsrouen@gmail.com

ou

Dominique SAINT MARTIN

d.saint-martin@ac-normandie.fr

 

Cette préparation ouvre droit à une autorisation d'absence qui vous sera envoyée ultérieurement.

Nous sommes à votre disposition pour répondre à vos interrogations, n'hésitez pas à nous solliciter !

 

 

Les membres du bureau académique du périmètre de ROUEN


Mouvement inter académique 2023

La circulaire des mutations inter académique est parue. Si vous souhaitez muter dans une autre académie, vous devez vous pré inscrire sur AMIA entre le 5 janvier et le 2 février 2023. Les 2 académies normandes ayant fusionné, ce n'est plus la peine de procéder en mouvement inter pour nos 5 départements.  Il faudra passer par le mouvement intra dont la circulaire paraitra à partir de mars.
Seuls les titulaires peuvent demander à muter via AMIA.
N'hésitez pas à nous contacter pour vous accompagner dans votre démarche.


Reclassement et Revalorisation:

beaucoup de questions...

Exclues du Ségur de la santé, les IDE EN se sont mobilisées à l'appel du SNICS FSU le 10 juin 2021 à Paris, mobilisation portant sur nos revendications salariales et notre revalorisation.

Cette forte action a permis au SNICS d'avoir une réponse de la ministre de la fonction publique le 23 Juin 2021 et l'obtention de la fusion des grilles IDE FPH et IDE FPE .

Depuis le 1er Janvier 2022, les IDE EN ont obtenu les transpositions du Ségur2 .

Il s'agit de la structuration des grilles IDE Fonction publique d’État et IDE Fonction publique hospitalière.

Effectif sur la paie de Mars 2022 avec rappel au 01/01/2022.

Le déroulé de carrière se fait maintenant en 2 grades ( infirmier et infirmier "hors classe"), sur 26 années, ce qui nous fait gagner 10 ans de déroulé de carrière.

La classe normale et la classe supérieure sont fusionnées pour devenir le Grade 1, le Grade 2 correspond à la hors classe.

Les durées dans les échelons sont moins longues : nous avançons plus vite!

L'indice brut est  augmenté : nous gagnons plus!

Notre nouvelle grille est à l'identique de celle des IDE hospitalières pour une homothétie de carrière demandée par le SNICS depuis longtemps.

Pensez à vérifier que le rappel a bien été fait sur le bulletin de salaire de Mars 2022 et que votre arrêté correspond à votre nouvelle situation.

 Si vous avez des doutes ou des questions concernant votre reclassement et/ou la reprise de votre ancienneté, les membres du bureau académique du SNICS FSU Rouen peuvent vous renseigner.

Avancement 2022

RAPPEL: L'annexe individuelle doit être transmise à la DPA par voie dématérialisée pour le vendredi 29 avril 2022.

Les tableaux se feront sur la base de l'ancienne grille, c'est à dire sur la situation des collègues qui était la leur avant la revalorisation .

Le reclassement sera effectif au 01/09/2022.

Pour un(e) collègue qui serait  promu(e)s, l'administration procédera de la manière suivante:
Première manœuvre : reclassement en classe supérieure ou hors classe à l'échelon qui est au plus près de celui qu'il (elle) avait dans l'ancienne grille,

Deuxième manœuvre : reclassement dans la nouvelle grille indiciaire.

Il faudra alors bien vérifier que l'ancienneté acquise entre le 01/01/2022 et le 01/09/2022 ne soit pas perdue.

          A savoir : On ne peut pas passer 2 échelons en même temps dans la fonction publique.

 Avec la nouvelle grille indiciaire, il ne faut plus raisonner en CN, CS et HC mais en Grade 1 et Grade 2.

 L'obtention de la transposition des grilles n'est que la mise en application de ce qui était déjà prévu en 2012, lors de notre passage à la catégorie A,

Le SNICS FSU revendique toujours la catégorie A type pour les INFENES.

N'hésitez pas à interpeller les membres du bureau académique du SNICS FSU lorsque vous recevrez votre nouvel arrêté.


Le bureau académique Rouen,
Nous contacter: snicsrouen@gmail.com


Journée internationale des infirmières

Communiqué de presse


Paris, le 12 mai 2022


A l’occasion de la Journée internationale des infirmières, le SNICS FSU tient à saluer
l’engagement de ces professionnelles de santé essentielles et l’importance des soins
infirmiers pour toutes et tous.


Partout dans le monde, elles sont au plus près de vous, de toute la population.
Les infirmières accompagnent vos souffrances et parfois vos joies.
Elles le font sans compter, trop souvent au prix d’un épuisement professionnel alarmant
et malgré une forme de mépris des politiques...


Les infirmières méritent plus de formation, de reconnaissance et de moyens pour
travailler dans des conditions décentes et offrir des soins de qualité.
On ne doit pas leur opposer des barrières corporatistes ni des politiques d’austérité, tout
en dépensant en même temps sans compter !
La priorité des infirmières est de mieux vous servir, même dans une société où les
profits et la rentabilité sont la règle.


Pour améliorer la santé de toutes et tous, mais aussi celle des soignant.es et leur
sécurité, des solutions existent et sont largement soutenues, comme en témoignent les
10 propositions pour agir concrètement sur la santé des jeunes faites par le SNICS, la
FSU, la FCPE, l’UNEF et la Voix Lycéenne.


Des changements sont possibles, soutenez-nous et interpelez vos élu.es !


Contact presse :
Saphia Guereschi : 06 87 89 13 34
Sylvie Magne : 06 08 90 22 31


Congrès national du 22 mars

 

Le SNICS FSU ne laissera pas sacrifier la jeunesse

Les inégalités sociales et de santé se sont creusées avec la crise sanitaire et les jeunes font partie des plus impactés par ces injustices, alors que, paradoxalement, ce sont les moins touchés par la maladie.
Depuis des mois, le SNICS FSU alerte en vain le Ministre sur les conséquences à moyen et long termes de la pandémie et demande un vrai plan d’urgence pour l’Ecole.

Cette situation n’a que trop duré !
Dans son dernier rapport, l’Unicef constatait que les fermetures d’école, les pertes d’emploi touchant les familles et l’augmentation des niveaux de stress et d’anxiété ont affecté la santé mentale des enfants et des jeunes. Chaque enfant doit recevoir une éducation de qualité, être protégé et jouir d’une bonne santé mentale.

C’est pourquoi le SNICS FSU appelle au renforcement de la consultation infirmière de 1er recours, par un recentrage des infirmières sur leurs missions et des créations massives de postes pour répondre aux besoins des élèves et favoriser leur réussite scolaire.

Après la crise sanitaire, la guerre en Ukraine renforce notre détermination à revendiquer plus de moyens pour les élèves et les étudiant.es.
Au regard de ce constat inquiétant, le SNICS FSU réunit et mobilise notre profession et toute la communauté scolaire (FSU, SNICS, FCPE, UNL, UNEF, élue.s…) .


Il organise un congrès national extraordinaire le 22 mars: colloque sous forme de webinaire le matin sur la santé des élèves et le rôle primordial des infirmières de l’Education nationale, actions dans les académies l’après midi pour exiger des créations de postes et le recentrage sur les missions.
Lien d’inscription au congrès extraordinaire du SNICS FSU, cliquez ici

Ne soyons pas les "oubliées" du CIT
Le SNICS-FSU appelle aussi à reconnaitre l’engagement des infirmières de l’Education nationale et l’utilité sociale de leurs missions par le versement du complément indiciaire de traitement dont les bénéficiaires viennent encore d’être élargis.
Pour accéder au courrier envoyé, cliquez ici

Soyons toutes et tous dans l’action le 22 mars afin d’exiger la mise en œuvre de ces justes revendications, ensemble avec les élèves et étudiants, la communauté éducative et les familles !

 

Télécharger
Les 10 propositions présidentielles du SNICS FSU
SNICS FSU Propositions présidentielles 2
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Projet de Master proposé par le SNICS-FSU, Infirmière Conseillère de Santé présenté lors de la formation syndicale du 9/12/21

Retrouvez le détail du travail mené par le SNICS FSU et le contenu du séminaire du 9 décembre ICI

 

 



Intervention FSU–SNICS au Conseil Commun de la Fonction Publique d’État du 07/10/2021

A l’ordre du jour :

 

Projet de décret modifiant le décret n° 2008-836 du 22 août 2008 fixant l'échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux administrations de l'État et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l'État et de ses établissements publics.

 

Intervention du SNICS-FSU représenté par Saphia Guereschi, invitée à titre d’expert par la FSU, sur ce texte qui traduit les transpositions d’une partie des mesures du SEGUR de la santé en direction des infirmières de la Fonction publique d’Etat, dont 80% sont infirmières de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur. Le SNICS-FSU est le représentant majoritaire de la profession - près de 2 infirmières sur trois ont voté pour lui, avec un taux de participation à 69% aux dernières élections professionnelles.

 

 

Rappelons que ces avancées importantes et légitimes ont été acquises après un long combat syndical, marqué par 4 mobilisations nationales des infirmières de l’Education nationale à l’appel du SNICS-FSU au cours d’une seule année.

 

Déclaration de Saphia Guereschi pour la FSU :

 

Nous saluons aujourd’hui ce texte qui répond à certaines revendications salariales portées de longue date par notre fédération (SNICS-FSU), ce décret refond les grilles salariales des infirmières de la Fonction publique d’État avec des revalorisations non négligeables à la clé.

En effet, nous prenons acte

• Que, par la fusion des deux premiers grades, il concrétise l’engagement du Conseil Commun de la Fonction Publique pris en 2012 pour tendre vers l’homothétie de carrière avec la Fonction publique hospitalière, « dans un délai maximal de 10 ans ». Nous ne pouvons que souligner que le délai maximum a été respecté, nous ne nous en félicitons pas car nombre d’infirmières ont été et restent lésées.

• Qu’avec le concours réservé, il y a la volonté de résoudre les problèmes de gestion et de droit engendrés par la persistance de corps de catégories différentes pour des missions identiques, sous réserve des modalités retenues. Nous espérons que ce concours permettra d’intégrer l’ensemble du corps résiduel de catégorie B dans celui de catégorie A. Le SNICS-FSU, au titre de sa représentativité, demande à être associé aux travaux.

• Et, bien entendu, nous prenons acte de la transposition à l’identique des mesures indiciaires du SEGUR sur les grilles salariales de la Fonction publique d’Etat, avec là encore un bémol et pas des moindres. Alors que les pieds et sommets de grilles étaient identiques, il y aura désormais un écart non négligeable. Les grilles de la Fonction publique d’Etat plafonnent à l’indice 886 contre 960 pour la Fonction publique hospitalière… les infirmières de la Fonction publique d’Etat sont-elles de « sous infirmières » ?

 

Ce texte comporte plusieurs avancées, mais il reste en l’état insuffisant. Les infirmières de la Fonction publique d’Etat continueront d’être victimes d’injustices dans leur traitement et dans leur déroulé de carrière. En effet, de façon significative et répétée, la Fonction publique d’Etat, qui emploie environ 8600 infirmières (dont 8000 à l’Education nationale), a transposé l’évolution des carrières et des grilles salariales avec des mois, voire des années de retard. On note jusqu’à 11 années de retard, soit l’équivalent 4 échelons … Des retards accumulés que ce texte néglige, c’est injuste !

 

Aujourd’hui encore, les écarts se creusent. Sommets de grilles différenciés et mise en application au 1er janvier 2022 au lieu du au 1er octobre 2021, ce sont trois mois de trop !

 

Sans compter le non versement du Complément de Traitement Indiciaire de 183€ net mensuel, ouvert au secteur médico-social non hospitalier. Les infirmières de la Fonction publique d’Etat, et notamment celles de l’Education nationale, seules professionnelles de santé restées en première ligne avec des masques grand public pendant la crise, face à une jeunesse en grande souffrance, ont-elles démérité ?

Assurément non, elles ont assumé leur service et participé très activement au maintien de « l’Ecole ouverte », au prix d’un épuisement professionnel alarmant. En avril dernier, deux infirmières sur trois se sont déclarées en souffrance au travail… (enquête du SNICS sur les risques psychosociaux).

 

Une autre injustice de ce texte est la faiblesse du reclassement.

En 2019, à peine 13 % des infirmières de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur étaient dans le grade Hors Classe. Ce ratio entre 1er et 2ème grade est à plus de 40% pour la Fonction publique hospitalière. Au moment du passage en catégorie A en 2012, le 2è grade de la Fonction publique hospitalière a été abondé alors que les 2è grades de celle de l’Etat ne se sont remplis qu’à partir des promotions.

Les enjambements et la faiblesse du reclassement proposé par ce texte sont un mauvais signal envoyé à la profession. C’est pourquoi, en réponse à ces injustices, la FSU propose un tableau de reclassement plus « favorable » ainsi que l’ajout d’une mesure transitoire permettant à des infirmières lésées depuis trop longtemps de bénéficier d’un avancement de carrière plus favorable.

 

Cette carrière dégradée par rapport à leurs homologues de la Fonction publique hospitalière est aussi incompréhensible qu’injuste, puisque les infirmières de la Fonction publique d’Etat détiennent à minima le même diplôme d’état (DE), qu’elles passent par exemple le concours d’entrée exigé pour exercer à l’Éducation nationale et y travaillent dans un cadre spécifique en pleine responsabilité face aux élèves.

Il est temps de reconnaitre la valeur et l’utilité sociale des infirmières de la Fonction publique d’Etat.

 

Le salaire moyen des infirmières de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur est autour 1816 €, les plaçant bien en deçà des salaires moyens de la catégorie A se situant autout 2500€ (2495) et avec un régime indemnitaire au niveau de la catégorie B, voire C. On ne peut que constater que leur grille salariale est bien inférieure aux agents de même niveau de recrutement, formation et responsabilités.

A l’heure des belles intentions sur l’égalité professionnelle, les injustices salariales de ce corps fortement féminisé doivent être résorbées.

 

Pour la FSU, Les infirmières de la Fonction publique d’Etat ne sont pas des « sous-infirmières », ces inégalités doivent être levées et des adaptations statutaires entreprises d’urgence.

Le SNICS/la FSU revendiquent l’ouverture de travaux et de négociations pour aboutir à une revalorisation du traitement indiciaire et indemnitaire des infirmières de l’Éducation nationale au niveau de la catégorie A type.

Revalorisation salariale

 

Le projet de décret est un projet. La réunion avec la DGAFP est prévue le 17/9/21. Aucune communication ne peut être faite avant cette date, encore moins la diffusion de projets de travail en cours. Le document diffusé est incomplet et erroné, les conditions de reclassement ne sont pas abordées. Le SNICS FSU vous apportera des informations claires et précises après les GT.

 


LETTRE DE RENTREE

 

Cher.e Collègue,

Au nom du SNICS FSU, je tiens à souhaiter à toutes et tous, une belle rentrée 2021, avec, encore plus que d’habitude, l’enthousiasme de nous retrouver mais également les craintes de revivre l’année scolaire éprouvante que notre profession a connue. Acculé.es par la crise sanitaire, ce gouvernement ne nous a rien épargné: loi de décentralisation, loi de santé, affaiblissement des droits des personnels et des services public, réforme des retraites, absence de recrutement, revalorisations indignes…


La crise a révélé les failles d’un système à bout de souffle, elle nous a bousculé.es et a ébranlé la société toute entière et plus particulièrement la jeunesse de notre pays. L’obsession du Ministre de l’Education Nationale de faire toujours plus avec toujours moins de personnel a volé en éclat. Le service public a été et sera toujours la solution pour répondre aux besoins de la population.


Surchargé.es, négligé.es mais présent.es au quotidien et en première ligne dans les établissements scolaires, connu.es et reconnu.es par les élèves, les infirmier.es du service public d’éducation attendent et méritent plus qu’une reconnaissance conjoncturelle. Les infirmier.es, « Essentiel.les, pas invincibles ni invisibles », ont été les maillons indispensables pour que l’École de la République reste ouverte.


Offensif et déterminé, le SNICS-FSU a pris ses responsabilités ; il a réuni en masse les infirmier.es lors de 4 congrès nationaux qui ont marqué les esprits.
Ensemble, uni.es grâce et par le SNICS, nous avons su faire bouger des lignes et obtenu l’affirmation des engagements de 2015. Le SNICS a obtenu entre autres :
L’abandon du projet d’externalisation de la santé à l’Ecole vers les départements.


L’affirmation de notre place au sein de l’école et du rôle spécifique des infirmier.es de l’Education Nationale assortie de l’engagement de travaux d’un master pour toutes et tous. Reste à nous assurer qu’il répondra aux attentes de notre exercice particulier et à celles des élèves.


Une présence médiatique de notre profession rappelant, notre existence, notre expertise, nos problématiques et permettant d’obtenir l’adhésion et le soutien de la communauté scolaire et de l’opinion publique.


Un cadrage national des protocoles sanitaires limitant les dérives académiques et départementales. Il a œuvré pour que soient mobilisés des renforts pour réaliser les campagnes de tests (médiateurs Covid, Sécurité civile, autres professionnels de santé …). Le SNICS-FSU a obtenu que l’engagement volontaire soit et reste la règle ministérielle.
Cependant, la question de la revalorisation salariale de notre profession fortement féminisée, est plus que jamais d’actualité. A ce stade, le Ministre persiste à n’engager aucune mesure d’augmentation salariale digne et pérenne pour les infirmier.es de son ministère.


Notre orientation pour un syndicalisme progressiste alliant négociation et action nous a toujours amené à concevoir et construire des actions fortes,
inscrites dans la durée.


« Celui qui combat peut perdre mais celui qui ne combat pas à déjà perdu » disait B. Brecht


Pour défendre la profession avec ténacité et mener à bien ses actions, le SNICS FSU a besoin de vous et vous appelle toutes et tous à vous (re)syndiquer afin de donner plus de force à l’action collective.


Les infirmier.es et les Elèves méritent mieux et plus, et continueront avec le SNICS-FSU à le faire savoir !


Saphia Guereschi


RECRUTEMENT, REVALORISATION, RECONNAISSANCE & RESPECT!



La force, la grandeur, l’attractivité du Service public d’éducation et l’engagement sans faille des infirmier.es méritent bien plus que des effets d’annonce.
A moyens constants, leurs conditions de travail qui ne cessent de se dégrader (manque de moyens, surcharge et surcroit de tâches, souffrance au travail, perte de sens, formation insuffisante, management inadapté) ont des conséquences délétères sur l’état de santé des infirmier.es et leur motivation... mais aussi sur la santé et la réussite scolaire des élèves et des étudiant.es laissés sans accueil et sans écoute au moment où ils en ont impérativement besoin !…

Oublié.es du Ségur de la Santé et négligé.es du Grenelle de l’Education, elles-ils sont scandalisé.es et exigent des revalorisations dignes de leurs responsabilités et compétences, pas l’aumône.
Pour rasséréner notre profession déjà trop éprouvée, le SNICS-FSU et les infirmier.es exigent un plan d’urgence :
- Un recrutement massif d’infirmier.es de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur
- Une revalorisation pérenne des salaires au niveau de la catégorie A type
- Une formation de spécialité ambitieuse à la hauteur des enjeux de L’Ecole
- De réelles mesures visant leur protection et l’amélioration de leurs conditions de travail.


Les infirmier.es de l’Education nationale ne peuvent plus se taire et seront dans l’action à Paris le 10 juin prochain pour faire entendre et aboutir leurs revendications.

 

Pour vous inscrire au mouvement du 10 juin et recevoir une convocation, inscrivez-vous à snicsrouen.gmail.com

 


Nouvelle circulaire PAI du 10.02.2021

Voir ICI


Cher.es collègues,

 

Le SNICS FSU propose depuis plusieurs années une préparation au concours ouverte à tous, organisée par des collègues en poste.

(inscription au concours entre le 16 février et le 16 mars)

 

Pour le moment nous n'avons pas la visibilité des nombres de postes ouverts au concours.

 

Celle ci se déroulera les 11 mars et 13 avril (la 2ème date pourra être ajustée au 20 avril selon les dates de l'oral) à l'UFR de St Etienne du Rouvray (selon les conditions sanitaires, la visio pourra être envisagée)

 9h-17h.

 

Une demande d'autorisation d'absence vous sera envoyée après inscription à:

snicsrouen@gmail.com, en indiquant vos noms/prénoms/lieu d'exercice/numéro de tel.

 

A très bientôt!


SEGUR de la santé, les infirmiers les grands oubliés!

 

"Grâce à une mobilisation exceptionnelle des acteurs de santé, médecins et soignants, le système de santé a résisté à la pandémie du Covid-19.

L’annonce de l’organisation d’un Ségur de la Santé par le président de la République, le Premier ministre et le ministre des Solidarités et de la Santé, a suscité beaucoup d’attentes de la part des infirmiers, qui souhaitent depuis de nombreuses années être acteurs de la restructuration d’un système qu’ils connaissent bien.
Les représentants des 700 000 infirmiers ont littéralement été exclus des concertations.
Quelle ironie en pleine célébration de l’année internationale des infirmiers par l’Organisation Mondiale de la Santé.

 

L’expertise de terrain et les compétences des infirmiers ne sont plus à démontrer ni à prouver. Notre patience a atteint ses limites.
Pendant la crise, les infirmiers, avec l’ensemble des professionnels de santé, ont œuvré en synergie pour maintenir à flot un système de santé à la dérive."
Article complet ICI